Aganippé ASBL

Les aterliers d'écriture d'Eva Kavian

AVIS DE PARTICIPANTS

"On n'écrit nulle part comme à la table d'Eva."

Johanna




"J'ai aimé me retrouver chez toi pour écrire dans une ambiance propice à la créativité . L'atelier "à la carte" me convenait parfaitement car je voulais progresser dans la rédaction d'un roman. Je suis venue avec des questions et grâce aux discussions avec toi et les personnes du groupe, j'ai trouvé des éléments de réponse pour continuer mon travail.

Je t'en remercie vivement."

Andrée




"J'ai participé à un atelier roman car j'avais peur de me lancer seule dans une aventure d'une telle envergure. J'avais envie d'être épaulée dans ma démarche et l'idée d'un suivi régulier avec des échéances mensuelles me semblaient intéressante pour arriver au bout de ce projet. Cet atelier m'a apporté énormément, tant par les conseils avisés et très concrets d'Eva, que par les relectures attentives des autres participants. La qualité de mon écriture a beaucoup progressé durant toute cette année. De plus, j'ai appris à développer mon sens critique lors des relectures des projets des autres participants, et cela me sert beaucoup dans le cadre professionnel. J'ai également beaucoup apprécié l'ambiance studieuse mais détendue et toujours très respectueuse de chacun et de ses écrits."

Geneviève Rousseau, auteur jeunesse



« L’atelier Préparer un roman, une galère ? Ça dépend !

Pour moi qui ai un cerveau qui cavale tout seul lui demander de galoper là où Eva veut nous emmener ça tient de la quadrature du cercle… mais Eva a du talent. Surtout, accrochez-vous, ou plutôt lâchez prise, je sais, facile à dire quand on est devant des personnages encore inconnus, un fil qui ne se distingue pas de la pelote, etc. Blackout ! Qu’est-ce que je fais là ? Ça n’ira jamais, je laisse tomber, tant pis, je me désinscris de l’atelier Roman l’année prochaine et puis basta ! Puis, par magie une petite étincelle qu’Eva allume… c’est ténu mais on se sent plus léger et hop, un petit fil, des contours, des formes… de l’enthousiasme et finalement l’impatience d’être à la rentrée. Ouf, j’avais ma place réservée à l’atelier Roman ! » 

« Procrastination, c’est grave docteur ?
J’ai envie d’écrire, mais… je serai plus à l’aise si le ménage est fait – tout compte fait les vitres propres me donneront plus de lumière – je vais aller acheté un nouveau carnet pour mes notes – je vais tailler mes crayons – finalement c’est mieux des marqueurs de couleur – cette année j’écris au stylo, il faut que j’achète de l’encre – je vais cuisiner des petits plats d’avance, comme ça une fois un travail je peux continuer –… et la liste est sans fin, si je faisais tout le reste aujourd’hui, comme ça demain je peux écrire… En fait, si tout le reste attendait parce que j’ai besoin d’écrire, non ? »

MStof



« Avant de suivre cet atelier, je n’aurais jamais pensé être capable d’écrire le premier jet d’une nouvelle en une journée. J’avais l’habitude d’écrire seule, de laisser mûrir mon idée, puis de la mettre par écrit quelques jours plus tard.

L’expérience de cet atelier, comme un défi, m’a ouvert les portes d’une écriture dans « l’instant.» Chaque mois, grâce aux 10 consignes différentes venant des autres participants, j’ai pu aborder des thèmes que je n’aurais pas évoqués autrement. Un autre « luxe » de cette formule est celui d’avoir des lecteurs qui réagissent et commentent pour le retravail le jour même.

Deux de mes nouvelles écrites au sein du « Décaméron » ont été primées dans des concours. .Je recommande cet atelier à ceux qui ont peur de la « page blanche » : ici, elle n’existe pas, car tout le monde écrit et lit sa production à la fin de la journée. Un atelier très stimulant !

« De quoi on a besoin pour écrire un roman ? Il faut tout d’abord de dates « butoirs », première exigence de cet atelier. La discipline de l’atelier m’a appris à mieux gérer mon temps pour laisser une large plage à écriture, en faisant le tri de ce qui est vraiment important pour moi. Ce temps réservé au roman devient alors une aventure, un plaisir, plus qu’un travail contraignant.
Deuxièmement, je pense que, comme dans tous les arts, il faut une technique de base, apprendre ce qu’est la trame et un plan. Comment construire des personnages crédibles, comment donner envie au lecteur de tourner la page. J’ai eu, lors des séances d’atelier, des conseils et des astuces à appliquer à mon texte.
Enfin, j’ai compris l’importance de la préparation avant l’écriture proprement dite. Il faut se documenter, d’aller à la rencontre de ces personnes en « chair et en os » qui peuvent nous inspirer, par leur métier, un personnage d’histoire.
Après dix mois de travail au sein de l’atelier « Le groupe roman », le premier jet est là et, à cette joie s’ajoute le plaisir du partage avec des personnes passionnées d’écriture.
Je viens de publier mon premier roman. Il a été conçu et travaillé au sein de cet atelier. J’entame maintenant un nouveau, toujours avec la même formule.

Maria de los Angeles Prieto



"Se ke jaime danles ateliés, se ke l'otograf ai pas importan ni la grammer toussa, se ki me fé renvoyé de lecol avan. Dès ke je suis peti j'm kon me rakonte desistoirs, alor moi jm rakonter desistoir aussi, et dans les atelié je me poz des kestions pourkoi listoir elle fait rir ou pas, ou peur (souvan mezistoir fépeur), pourkoi les personnaje y sont kiffan ou pas. Tes la tarriv ds latelié, tekoute eva ki donne des konsign (ses se kel dit avan kon kommense) ke je kompren pas bien toujour, mé sé pa grav apré on ekri lesistoirs kon navai mem pa pensé avan, et a la fin ta ekri listoir é tu compran la konsign pour tjours, pasque eva el repèt ds lé kommentèr (se skel di aprè, mé elle è jamè faché, tjours kontentt) et tes kontan pasqe ta une nouvelistoir dan ta valiz.

Et aprè tekri dezistoir tousseul avc toujour les konsign dan la taite. Moi par eczempl jai dekouver dans lezatelié ke sé tjours bien de mettre un kangourou ds listoir pasque personne sy attend, et sa fai peur et sé un mo ke jekri san fote, mersi lesatelié, mersi eva"

Jenbernar, fonctionère.